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Affichage des messages du 2011

Petite pensée

"Le bonheur a besoin simplement qu'on y consente." Tirée du très beau livre de Jocelyne Saucier : Il pleuvait des oiseaux. Je lui aurais bien accordé le prix du Gouverneur général. Elle fut deux fois finaliste.

Prix du gouverneur général

J'essaie de savoir, j'ai beau fureter, je n'arrive pas à savoir quels sont les critères pour qu'un auteur obtienne le GG en littérature. Quelqu'un peut m'éclairer ?
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Quatrième de couverture:                                                                                         Durant les jours qui suivent la chute du mur de Berlin en 1989, Liv, jeune Québécoise venue étudier en Allemagne, est invitée chez une amie à Winterhüde, en banlieue de Hambourg. Des années plus tard, le 11 septembre 2001, sa fille Sabine contemple les tours enflammées de Manhattan depuis les quais de Jersey City. Entre ces deux dates, qu’est-il arrivé à la première, adolescente qui rêvait de changer le monde? Et quel sera l’avenir de Sabine? Trouvera-t-elle son identité dans une Amérique qui brûle de se venger? Dans l’Allemagne de son père? Dans la langue rassurante de sa mère? Chacune en son temps, mère et fille suivent un parcours initiatique où la résilience, l’apprentissage et les liens solides de l’amour se vivent au plus fort du tourbillon qu’a été l’Histoire occidentale récente. Annie Cloutier a puisé dans ses souvenirs d’adolescence afin de livrer, avec La

Youppi!!!!

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J'ai mon exemplaire. Je le hume, je le frôle, je le flatte. La peau de ce livre n'est pas lisse ne laisse pas indifférente. Allez, essayez... Je crois que je relirai...avec d'autres yeux. Merci Madame Thibault. J'ai reçu aujourd'hui, une belle surprise.

Les têtes rousses

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Résumé Victime de la grande famine, Bridget Bushell est chassée de l’Irlande en 1847. À dix-neuf ans, sans avoir le temps de faire le deuil de sa mère, elle traverse l’Atlantique dans le fond d’une cale d’un bateau-cercueil. Avant d’arriver à Saint-Henri-des-Tanneries, elle rencontre l’amour, mais la maladie et la mort rôdent. Sur le même voilier, un autre Irlandais, Denis Lynch, fuit son pays, avec pour tout bagage, son enfance blessée. À force de présence attentionnée, réussira-t-il à se faire aimer de sa compatriote? En traversant la vie laborieuse de Bridget Bushell, c’est tout un pan de l'émigration irlandaise au Québec, au dix-neuvième siècle, que l’auteur évoque avec ferveur et authenticité.  ( extrait des éditions Vent D'ouest) Mon avis: Dès les premières pages, j'ai su que j'aimerais ce roman. Claude Lamarche écrit bien. Elle aligne ses mots selon mon goût. On se laisse rapidement  envahir par le personnage de Bridget. Claude Lamarche

La solde

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4 étoiles La solde Eric McComber Critiques et infos sur Babelio.com Quatrième de couverture : Émile Duncan, ex-bluesman en déroute, accepte un travail minable dans une usine d’agendas scolaires. En secret, pendant ses heures de besogne, il écrit ce qui deviendra un roman. La parution inopinée du bouquin provoque une série de rencontres improbables qui mettront la vie d’Émile cul par-dessus tête. Une chronique noire mais fissurée par la lumière qui afflue. Un antihéros qui envisage de l’œil gauche la bêtise et du droit, la solitude. En connivence avec Bukowski et Céline, une dérive tragicomique et peuplée, portée par une voix sans pareille. Mon avis: La saga d'un presque livre. J'ai lu le presque livre La solde écrit par Éric McComber à l'intérieur de "la masse critique" de Babelio section Québec. J'étais supposée recevoir un livre de la maison d'édition La Mèche. J'ai reçu un embryon de livre. Des feuilles non rassemb

Parapluies

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Il fa ut en parler aujourd'hui car la température s'y prête bien. J'ai lu ce livre en l'espace de trois jours. J'ai beaucoup aimé. Comme j'avais beaucoup aimé Les Carnets de Douglas. Pour lire la quatrième de couverture, cliquez ici Il y a six chapitres. Chacun des chapitres se présente comme une nouvelle, pensais-je. Au fur et à mesure, je me suis rendue compte que ces chapitres avaient un élément commun : le cher disparu et la pluie bien entendu. Tout ce beau monde se retrouvera à la fin. Très astucieux et belle idée. En lisant ce livre je me suis régalée et en prime j'ai appris. Je ne pourrais pas en dire autant en parlant de: Le ciel de Bay City de Catherine Mavrikakis. Dépressifs s'abstenir. J'ai trouvé ce livre long et redondant. Je suis toujours curieuse de connaître un peu plus les auteurs et j'ai trouvé ceci dans Le Devoir. Je me demande encore une fois : Qu'est-ce que la littérature?

Dans sa bulle

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Il fallait que je lise ce roman pour que j'aie envie d'écrire à nouveau sur ce blog. Non, je n'ai pas pris de notes. Cette photo, je l'ai prise là . Et le résumé de son livre ici Le goût de lire ce livre n'est pas venu du premier coup. Les premiers chapitres m'ont un peu désarçonnés. L'écriture sarcastique, caustique, en aparté, me dérangeait. Mais, au fil de ma lecture, j'ai l'impression que ce style s'est fait moins mordant, ou je me suis habituée. J'ai même eu des sourires en coin. Un moment donné, au trois-quart du livre, je me suis mise à penser que l'histoire était bien ficelée. Et j'avais hâte de lire les autres chapitres et en même temps je ne voulais pas lire trop vite car je ne sais pas ce qui m'attend avec les autres livres qui m'attendent.

Seule Venise, Claudie Gallay

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Quatrième de couverture: A quarante ans, quittée par son compagnon, elle vide son compte en banque et part à Venise, pour ne pas sombrer. C'est l'hiver, les touristes ont déserté la ville et seuls les locataires de la pension où elle loge l'arrachent à sa solitude. Il y a là un aristocrate russe en fauteuil roulant, une jeune danseuse et son amant. Il y a aussi, dans la ville, un libraire amoureux des mots et de sa cité qui, peu à peu, fera renaître en elle l'attente du désir et de l'autre. Dans une langue ajustée aux émotions et à la détresse de son personnage, Claudie Gallay dépeint la transformation intérieure d'une femme à à la recherche d'un nouveau souffle de vie. Et médite, dans le décor d'une Venise troublante et révélatrice, sur l'enjeu de la création et sur la force du sentiment amoureux. J'ai adoré ce livre. Tout est parfait. L'histoire est bien menée et bien écrite. Retourner à Venise par l'écriture m'a beaucoup p

La petite et le vieux

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Ce livre me laisse perplexe. Je le trouve très bien écrit, mais est-ce suffisant? Est-ce un conte ou un roman? Je n'arrive pas à croire qu'une enfant de 8 ans puisse avoir des pensées d'adulte. Je n'arrive pas à croire qu'elle puisse sortir de chez elle aussi facilement. Peut-être, suis-je naïve. Je le lis, je me fais un devoir de la lire jusqu'à la fin. D'autres, l'on très apprécié. J'ai même souri au début quand Hélène dit: « J'étais parvenue à me convaincre que j'étais un garçon et je tenais à ce qu'on m'appelle Joe. » Je me trouvais des atomes crochus, car j'aurais bien voulu étant plus jeune être un garçon pas pour les mêmes raisons, surtout pour les privilèges accordés aux garçons. « J'aurais aimé Oscar... » J'avais un Oscar dans ma classe quand j'enseignais. Il s'appelait Oscar, belles dents. Le fameux dentier qui me servait à montrer comment on se brossait les dents. Donc, je me dis que je devrais le relire

Philippe avec un grand H ou la découverte de l'homosexualité.

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Je peux dire en partant que j'ai beaucoup aimé ce livre, car Guillaume Bourgault traite du sujet en profondeur. Il donne des réponses aux questions que pourrait se poser un jeune qui doute. Je relève ici un mot de l'auteur qui précède le roman. Ce mot m'a beaucoup impressionné : « Au Québec, près de 40 % des suicides chez les jeunes hommes de quatorze à vingt-cinq ans sont liés à la non-acceptation de leur homosexualité, par eux-mêmes ou leur entourage. Aussi, chez les gais, la première cause de mortalité n’est pas le sida, mais bien le suicide » Et ceci : « Chacun a sa propre façon de réagir à la découverte de son homosexualité. Alors, si Philippe peut constituer un « modèle », il ne faut pas nécessairement l'imiter. Sachez qu'une sortie de placard (un coming out) peut avoir de profondes répercussions sur les relations familiales et interpersonnelles, l'estime de soi, et même la carrière. Il faut, avant chaque pas, en mesurer toutes les conséquences

L'homosexualité dans la littérature jeunesse.

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Oups! Les commentaires que j'ai lus ailleurs me semblaient tellement parfaits que j'ai oublié de dire que j'ai beaucoup aimé ce livre. Je lis présentement sur ce sujet en littérature jeunesse. J'ai trouvé un excellent résumé et une excellente analyse sur le web. Sylvie Massicotte dans Les habitués de l'aube voit l'homosexualité à travers les yeux d'une adolescente. Chez Gaétan Chagnon, le narrateur est plutôt omniscient. J'ai beaucoup aimé l'entrevue que Gaétan Chagnon a accordée à Lionel Labosse au sujet de son livre. En particulier ces passages: Accepteriez-vous qu’on qualifie votre livre de roman « gai » ou roman « LGBT » ? Personnellement, je préfère parler de roman à thématique homosexuelle plutôt que de roman gai comme tel. De la même manière qu’on ne parle pas de roman hétérosexuel. À trop vouloir tout cloisonner, tout compartimenter, j’ai grand-peur qu’on coure le risque de voir les divers groupes se scléroser, se fermer à ce qui es

Les habitués de l'aube

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Un roman pour adolescent (12 et plus) qu'un adulte peut très bien lire. Publié en 1997. Je crois que les héros de ce roman ont 15 ou 16 ans. Sylvie Massicotte écrit surtout des recueils de nouvelles et des romans jeunesse. Le livre commence ainsi : « Tout le monde m'énerve. » Une adolescente qui n'est pas nommée narre. La période des vacances d'été arrive. Cette adolescente se réjouissait de prendre des vacances au bord de la mer avec son petit ami et ses parents. Ses projets sont déjoués, car le petit ami la laisse quelques semaines avant la fin de l'année scolaire. Alors, elle n'a plus envie de rien. Ses parents savent pourquoi, mais ils n'en parlent pas. Les non-dits s'installent. Finalement, elle ira passer des vacances chez son oncle et son cousin Antoine. Sa tante est internée, mais personne n'en parle. Cousin Antoine a commencé à courir les filles d'après son père. Cousine de penser que l'oncle est un peu en retard, car elle a vu Antoi

Petites phrases pour traverser la vie

en cas de tempête... et par beau temps aussi. Livre de Christine Orban. Des petites phrases qu'elle a recueillies et compilées, d'elle et des autres, celle-ci est d'elle: « L'écriture dépend de soi, la publication dépend des autres. La sagesse consiste à ne s'occuper que de ce qui dépend de soi... »

Deux livres jeunesse

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J'ai lu deux livres d'Andrée Poulin. Celui-ci, que j'ai beaucoup aimé . Je me sentais un peu comme les fouineuses du livre. D'ailleurs ce chapitre m'a fait sourire. Qu'on le veuille ou non, on se pose toutes sortes de questions quand quelqu'un adopte un(e) enfant d'une autre race. Andrée Poulin a répondu à toutes les questions que je me posais sans jamais les avoir posées.Elle sait de quoi elle parle car ses deux filles sont d'origine chinoise. Merci. Celui-là , un gentil conte de fées écrit selon les règles des contes de fées . situation initiale qui nous présente les personnages et leurs intentions les personnages en action et comment le tout finira.

Sourire...

Vieillir c'est embêtant, mais c'est la seule façon de vivre longtemps.

Vous parlez de quoi ?

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Des 17 fleurs de mon orchidée . Aujourd'hui, elle rayonne. C'est mon soleil d'hiver, du moins de ce mois de janvier. Je l'ai achetée, il y a à peu près deux ans et demi. Ma belle-soeur polonaise m'avait donné des sous pour que je me fasse plaisir. Nous venions de déménager dans un condominium. À l'origine, elle était toute fleurie. Elle arborait fièrement deux tiges florales. Le défi, la faire refleurir. Croyez-le ou non, elle refleurit pour la deuxième fois. Je suis très fière de moi et de mon frère Richard , cet amoureux des fleurs en général et des orchidées en particulier. Il m'a gracieusement donné le truc.

Petit mot qui en dit long.

Savoir écouter, c'est posséder, outre le sien, le cerveau des autres. Léonard de Vinci.

L'inspiration...

... c'est pour les amateurs. Je n'ai pas eu cette brillante idée mais je le savais déjà. Lire la chronique de Stéphane Dompierre.

Benny & Joon Tribute (HD)

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Pour faire suite...

Écouter surtout à la minute 29 pour connaître les secrets de la longévité. C'est ça la vie.