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Affichage des messages du avril, 2010

Et après... Guillaume Musso

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J'ai succombé à la tentation... J'avais regardé cette émission un dimanche matin. http://the-ou-cafe.france2.fr/index-fr.php?page=emission2&id_article=2351 Je trouvais cet écrivain fort sympathique. Je ne le connaissais pas. J'étais presque la seule à ne pas le connaître même au Québec. J'ai réservé La fille de papier son nouveau livre à la bibliothèque et je suis au rang 95. Je ne suis pas pressée. J'ai beaucoup d'autres livres à lire. J'entends des frémissements outre-mer. Parce que c'est un écrivain populaire : selon le dico: 1. qui appartient au peuple; issu du peuple                    2.  qui s'adresse au peuple, au public le plus nombreux; qui est jugé conforme aux goûts de la population la moins cultivée (roman populaire) Je l'ai lu au complet : 357 pages. Quatrième de couverture : A huit ans, Nathan est entré dans le tunnel lumineux de la "mort imminente". Plongeant dans un lac pour aider une fille

Michel Onfray

J'aime bien ce philosophe. Vous connaissez ? La philosophie m'a toujours intéressée. Jen'ai que deux yeux et 24 heures dans une journée. http://www.dailymotion.com/video/xcwznm_michel-onfray-vs-freud-1-3-l-affabu_webcam

Ra! Ra!

Vilaine! Il ne faut pas boire un café quand on lit un livre. J'en ai renversé dans le livre de M. Prenovau. Depuis que je lis, c'est la première fois que cet accident m'arrive. Alors les feuilles gondolent, elles sont jaunies et elles sentent le café  . En honnête femme, j'ai signalé le fait à la bibliothèque. La préposée jouissait presque et m'a dit: - je m'en serais aperçue. Avec une sorte de trémolo sarcastique dans la voix. -Il y aura certainement des frais, dit-elle. Des frais salés: le coût du livre soit 24.95 et 5 $ pour le traitement de la chose. Je pourrai récupérer le livre. Dommage, j'aurais dû mieux choisir mon livre pour faire des dégâts. Je suis en colère. En même temps je me dis qu'ils ont raison d'être sévères. J'espère seulement que tout le monde est traité de la même façon. Pas vu, pas puni. Je me permets d'en douter.

Dérives Biz

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Moins d'une journée pour lire un livre. Bien sûr il avait moins de cent pages. Je ne savais même pas qu'il existait. Je l'ai vu à la bibliothèque, sur l'étagère des livres en location. Je le trouvais bien petit pour se trouver là. D'habitude ce sont des briques pour lesquelles on paie. Je l'ai regardé. J'ai lu quelques mots et hop! Je l'ai loué. Et je ne regrette rien. Je l'achèterai peut-être. Je recommande à tout le monde. http://www.cyberpresse.ca/arts/livres/201002/22/01-953951-biz-les-derives-dun-pere-indigne.php http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/nathalie-petrowski/201002/24/01-954691-papa-est-en-depression.php? http://ruefrontenac.com/spectacles/livres/18300-biz-derives

Autopsie d'un tireur fou Serge Prenoveau.

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Quatrième de couverture Le titre de ce livre est un mensonge. Il manque à ce roman le constat d’un coroner et surtout, un halluciné qui tue à la volée… Mais c’est connu, les auteurs prennent toutes les libertés et, souvent, au lieu de raconter ce qu’ils annoncent, ils passent derrière et nous livrent le récit d’une vie qui aurait pu y mener. C’est la méthode de Serge Prenoveau qui nous révèle celle d’un personnage aux jours jonchés de grisaille, d’ambitions brisées, d’amours déçues, et de longues heures solitaires. Une vie de frustrations qui développe, en crescendo, des idées noires délirantes. Un monde sans éclat, mais oh! combien dense, où il nous plonge sans retenue avec des coups de plume à la fois si sensibles et si incisifs, que les yeux nous piquent. D’émotion. On le lit à la course car son écriture nous emporte et, à la fin, le temps de reprendre son souffle, on revient au titre. Et on a compris. Serge Prenoveau est cytologiste de son état. Avec ce premier roman, il aborde l’

Les prédateurs de l'ombre Denis Côté

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Description. 1h20, la nuit. Stéphanie se réveille en sursaut. Son cœur cogne dans sa poitrine. Affolée, elle se lève. Au rez-de-chaussée, les lampes s’éteignent brusquement, plongeant la maison dans l’obscurité. L’adolescente se fige d’effroi. Autour d’elle, le silence se fait sournois. Comme si une présence redoutable l’habitait. Elle perçoit alors une odeur nauséabonde. Puis un bruit de pas. Furtifs et retenus… Les prédateurs de l’ombre, un cauchemar au cœur des ténèbres. Mon avis: Cette nuit, j'ai lu Les prédateurs de l'ombre écrit par Denis Côté. Un roman+, un roman pour ado. J'ai lu les 3/4 du livre de 151 pages. Il fallait bien que je retourne me coucher. Je l'ai fini ce matin. Un vrai roman, avec une intrigue. Un livre qui nous tient en haleine. Un tantinet de science fiction je l'accorde. Mais bon, c'est ce qu'il aime écrire et j'ai beaucoup aimé. Ce livre a été publié à l'origine en 1997. La photo jointe ici est de 2008 date de

Salon internationnal du livre de Québec

Ouf! Hier, en soirée, je suis allée faire un petit tour au salon du livre. Je n'y étais pas allée depuis un petit bout de temps. Je me promettais même de ne plus y aller étant donné que je sais où me procurer des livres si j'en veux. Mais je voulais rencontrer certaines personnes qu'on ne peut rencontrer autrement. Comme toujours, il y avait foule. Je ne sais pas comment tout cela s'organise, si c'est voulu pour que les gens fassent le tour mais il est très difficile de trouver les personnes qu'on veut rencontrer. J'avais le numéro des stands (comme on dit) et je connaissais les maisons d'édition, les heures. Mais là, j'en ai marché un coup avant de me décider d'aller m'informer. J'ai enfin réussi à parler à deux personnes sur trois. Si je veux rencontrer d'autres écrivains, il faudrait que je me tape plusieurs jours de ce régime. Non, pas pour moi. N'aime pas trop ce genre de bain de foule. La deuxième personne que j'ai

Olivier, ou l'inconsolable chagrin, Nicole Fontaine

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Présentation de l'éditeur Olivier, vingt-six ans, provoque son propre accident de la route… Or, sa tentative de suicide échoue. Maintenant qu'il souffre d'aphasie temporaire, le tétraplégique, branché sur respirateur, est toujours conscient mais ne peut communiquer avec ses proches. Défait, il refuse de se battre pour survivre. Il y a de cela cinq ans, Olivier, amoureux de Clara et jeune étudiant en médecine, se rendait au Sri Lanka pour un premier séjour afin de participer à l'aménagement d'un dispensaire. C'est en vivant parmi ce peuple insulaire de l'Océan indien qu'il fait la rencontre d'une famille de Rakwane, l'hébergeant chez elle. Le jeune et charismatique Arun, alors âgé de onze ans, retient particulièrement son attention et une relation intime se développera peu à peu entre eux. Olivier devient alors le grand frère amant d'un enfant, accepté et chéri par la famille qui l'accueille. S'en suit, dans les années à venir, un

Les trois modes de conservation de la viande.

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Quatrième de couverture : Maxime-Olivier Moutier ausculte le rôle du père dans ce récit explosé, véritable antibiotique pour une génération issue de la famille décomposée qui a dû apprendre comment devenir parent dans les livres. Les trois modes de conservation des viandes est un remède contre la désillusion et le cafard moderne. Au centre de cette quiétude fragile enfin trouvée, il y a une femme sublime décrite avec des mots qui la transforment presque en statue de pierre. L'écriture vorace et contagieuse de ce traité hyperréaliste de la vie domestique est gorgée de lumière et laisse transparaître, enfin, la possibilité du bonheur. Les trois modes de conservation des viandes est un diagnostic lucide et cru. Drôle de livre. Par son titre d'abord. On dit que c'est un roman. Des réflexions, je dirais. La vie d'un homme qui vit en famille, avec sa famille. Il dit: "Cent fois par jour, je fais ce qu'il faut." p. 11 Des réflexions qui ne se suivent p