Une pensée...

qui me fait réfléchir.

« En ce moment, à l’endroit même où vous vous trouvez, il y a une maison qui porte votre nom. Vous en êtes l’unique propriétaire, mais, il y a très longtemps, vous en avez perdu les clefs. Ainsi vous restez dehors, ne connaissant que la façade. Vous ne l’habitez pas. Cette maison, abri de vos souvenirs les plus enfouis, refoulés, c’est votre corps. » (Thérèse Bertherat, avec la collaboration de Carol Bernstein, Le corps a ses raisons : auto-guérison et anti-gymnastique, Paris, Seuil, 1976, p. 9).

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