L'imaginaire, de mots pour le dire.

C'est le titre de l'atelier du lundi. Prof.: Laurier Veilleux.
J'aurais une photo mais je trouve que ce n'est pas vraiment lui.
J'avais pris un livre de poésie (La peur des éclipses) dont il est l'auteur sans savoir que j'allais l'avoir comme prof.
J'ai lu quelques pages et j'aime sa poésie, cette poésie qui ressemble à un récit mais...
Pas hermétique du tout. Et il est d'accord avec toi Hélène: l'écriture...

C'est comme un autre travail. Il faut juste s'y mettre, sans attendre d'avoir le goût, ou de se sentir prête, ou assez bonne, ou je ne sais quoi.

l'inspiration, les muses il ne faut pas trop compter la-dessus.




Commentaires

Hélène a dit…
J'aime la poésie qui raconte une histoire...
Et si on compte sur les muses, on attendra longtemps, en effet. C'est un peu comme compter sur Dieu, hihi. On dit bien "Aide-toi et le ciel t'aidera", n'est-ce pas?

Messages les plus consultés de ce blogue

lettre inutile à Christian Bobin.

Michel Pleau : Une auberge où personne ne s'arrête