de retour

Je reviens de Provence et de Corse.
Il me semble que je n'en finis plus de revenir. Le décalage horaire est plus difficile à résorber au retour. Je crois que mon corps commence juste à s'en remettre. Peut-être que l'âge y est pour quelque chose...
Enfin, voici une réfléxion que j'ai faite dans l'autobus en route vers Dorval.
Je ne crois pas avoir de préjugés raciaux. J'essaie en tout cas de ne pas en avoir. Mais j'ai tout de même remarqué des musulmans qui prenaient la bus avec nous. Oh! J'entends déjà la question: Qui te dit que c'était des musulmans? Je ne me fie pas seulement à leurs traits physiques qui peuvent quelques fois être trompeurs.Je le sais à cause des femmes qui accompagnaient ces hommes.
Elles ne passent pas inapperçues. Mais, j'ai quand même pensé (tout en essayant de ne pas y penser) j'espère qu'il n'y a pas là un kamikaze. Après tout, il n'y a pas d'inspection des bagages quand on prend l'autobus. Qui dit que quelqu'un ne traîne pas une bombe dans ses bagages? Il y a eu des cas semblables ailleurs, des personnes qui f'offrent en holocauste pour une cause et surtout pour un dieu.
Je sais il ne faut pas devenir paranoiaque mais j'aimais quand même mieux le temps d'avant le 11 sept. où on n'avait pas à penser à ça.

J'ai fait lire ma note à Roger et curieusement, il avait pensé la même chose.

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