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Affichage des messages du décembre, 2012

Je viens de lire...

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    Danielle Laurin en a parlé dans Le Devoir.   J'aurai pu écrire ce livre. J'aurais dû écrire ce livre. Je pense cependant que pour réussir à faire publier ce genre de récit, il faut déjà être connu dans le monde de l'écriture. Le plus drôle, c'est que son petits-fils est né en août 2004 et que ma petite-fille en juillet 2004.   Moi, je n'ai fait qu'écrire de la poésie dont ceci :     Un tourbillon printanier   «  U ne poule sur un mur… »   N on grand-maman : « Ainsi font, font, font… »   T ourbillon de comptines. «  O n joue grand-maman? » U ne petite Sophie apprend des mots R ire de grand-maman, grand devin B albutiements I l faut de la patience L ongtemps sur le métier L es mots viendront, les mots viennent O n pourrait croire au miracle N on, l’enfant grandit   P etite souris trottine R echerche le chat, I mpassible pour le moment N on, So

Karen Thompson Walker présente son roman L'Âge des miracles

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L'âge des miracles est un roman d'anticipation. La terre qui ralentit, mais pas à peu près, et ses conséquences. Julia, qui est maintenant une jeune adulte, nous raconte ce changement et son évolution avec ses yeux de jeune adolescente de 11 et presque 12 ans, l'âge qu'elle avait lorsque le phénomène est apparu. Ce premier roman de Karen Thompson Walker est bien mené et se lit bien même si la traduction est agaçante des fois. Cette traduction est faite pour les français et  certains mots sont traduits avec des mots utilisés en France et non en Amérique. L'idéal serait de pouvoir le lire en anglais. « Dans la vie, on n'a qu'une seule obligation: mourir.... Tout le reste relève du choix. » p. 65 « La vie serait plus douce si elle suivait un cours inverse, si, après des décennies de déceptions,on atteignait finalement un âge où les sacrifices ne seraient plus de mise, où tout deviendrait possible. » p. 113 « Pensez à ce miracle inconcevable : un

Eureka!

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Quand je suis allée en Italie du sud, ici à Tropéa, je me suis demandé pourquoi il y avait des cadenas au garde-fous. J'ai trouvé la réponse en lisant 7 ans après... de Guillaume Musso.  p. 221 Et oui, je lis Guillaume Musso. Je connais certaines personnes qui me crucifieront mais bon...Je lis pour le plaisir de lire quand je lis Musso qui écrit bien et qui ne nous prend pas non plus pour des cons. Ses thrillers sont un peu pas mal irréalistes et frôles probablement les romans Harlequin mais ils me font sourire. Je ne suis pas dupe et probablement que personne n'est dupe. On se laisse quand même prendre par l'intrigue et les folles poursuites. Et il arrive qu'on apprend... Toujours est-il que ce sont des cadenas d'amour .    

Pour Marsi , Venise...et les autres.

Curieusement et non l'internet interfère sur nous, un peu partout. En visitant le musée McCord, j'ai pensé à Marsi parce qu'il est bédéiste et à Venise qui, je pense, aime bien rire. Pourtant Marsi je ne le connais pas vraiment. J'en sais ce que Venise nous en dit sur son blogue. Tant qu'à Venise, je l'ai rencontrée cinq minutes un jour au salon du livre de Québec et nous avons correspondu pendant une brève période. Si j'ai pensé à eux, c'est à cause d'une exposition vraiment hilarante au musée McCord. La fin du monde... En caricatures ! Je ne suis pas spécialiste mais j'ai quand même pu admirer le travail de ces artistes d'ici souvent méconnus et leur humour aussi. Une exposition à visiter. Il faut, cependant faire vite car le tout se termine en janvier. Le site web du musée McCord est très intéressant et plein de richesse. Nous avons vu cette exposition par hasard car nous étions là pour la photographie .